Géocaching
Il y a déjà quelques années que j'entendais ce mot et que je lisais à ce sujet. Ce me semblait un passe-temps agréable et intéressant tout en étant quelque peu aventurier... chasseur de trésor. Puis, l'année dernière, mon amie me confie avoir commencer à faire du Géocaching avec son amoureux, déclaration ne passant pas dans l'oreille d'une sourde je vous l'assure!
Puis, plusieurs mois plus tard, nous planifions une "chasse aux trésors" ensemble dans son petit coin de pays! J'adore tant et si bien que j'initie quelques jours plus tard namoureux et ma Grande Princesse toute excitée à l'idée d'aller chercher et découvrir des trésors!!!
Puis, au tour de mon amie de venir découvrir des endroits "inexplorés" dans mon petit coin de pays sous le chaud soleil de l'après-midi!
Chaque fois, nous nous sommes bien amusés et je compte bien continuer à pratiquer ce passe-temps fort intéressant!
Définition de Wikipédia:
Le géocaching n'était pas possible techniquement avant la désactivation de la disponibilité sélective (selective availability) du GPS le 1er mai 2000. La première cache localisée par GPS et documentée fut placée le 3 mai 2000 par Dave Ulmer, originaire de Beavercreek, dans l'Oregon. Les coordonnées furent publiées sur le groupe Usenet sci.geo.satellite-nav[1]. Dès le 6 mai 2000, la géocache avait déjà été trouvée deux fois (et journalisée une fois par Mike Teage, originaire de Vancouver (Washington)).
Ce type de chasse au trésor était au départ appelé par ses premiers participants GPS stash hunt, ou gpsstashing. Après une discussion dans le groupe gpsstash de eGroups (par la suite devenu Yahoo! Groups), Matt Stum suggéra geocaching à la place de stash (en français « butin », ou « planque »), qui pouvait avoir des connotations négatives[2].
En 2000, Jeremy Irish, Elias Alvord et Bryan Roth fondent à Seattle la société Groundspeak, qui gère notamment le site Geocaching.com, listant en juillet 2009 près de 800 000 géocaches à travers le monde (un autre site de la société, Waymarking.com, répertorie les caches dites virtuelles ou caches webcams). Ce portail ainsi que d'autres sites dédiés au géocaching dans des pays spécifiques permettent aux participants de publier leurs trouvailles, leurs caches et d'organiser des rencontres. Geocaching.com permet également de suivre le progrès de certains objets d'une cache à une autre, et publie également des caches dont les coordonnées sont uniquement visibles à ses abonnés payants.
La popularisation et la démocratisation des récepteurs GPS portables depuis le milieu des années 2000, désormais vendus à des prix comparables à ceux des appareils photos numériques, a été essentielle à l'essor du géocaching.
Le passe-temps est pratiqué par de nombreux jeunes (parfois encadrés par un adulte dans le cadre d'une animation socioculturelle), mais aussi par des enthousiastes de la randonnée et des amoureux de la nature.
Dans les pays francophones, les participants sont généralement appelés des « géochercheurs » (ou « géo-chercheurs »), « géocacheurs » ou « géotrouveurs ».
Les participants enregistrent leur découverte sur un registre des visites (généralement un petit carnet) à l'intérieur de la géocache et/ou la partagent sur un site Web communautaire dédié à ce loisir. Dans certains cas, les coordonnées à découvrir ne sont pas des caches, mais des marqueurs géographiques, comme ceux que diverses organisations gouvernementales ou scientifiques utilisent pour marquer latitudes et longitudes.
Les géochercheurs sont invités à prendre un objet de la cache à condition d'en laisser un en échange. Des petits jouets ou bibelots sans valeur constituent généralement le contenu d'une géocache typique. Certains y laissent aussi leur carte de visite, des pièces de monnaie ou billets correspondant à une faible somme et autres souvenirs. Les denrées alimentaires sont proscrites car pouvant attirer les animaux. Les objets laissés dans la cache ne doivent pas avoir être dangereux ni illégaux (pas de munitions ou de canifs, par exemple). Une note explicative accompagne généralement la cache, décrivant le géocaching aux non-initiés et les invitant à laisser la cache en place et à participer à l'activité.
Les contenants typiques sont généralement des boîtes en plastique de type Tupperware, des boîtes à munition, ou même simplement des petites boîtes métalliques à bonbons ou des capsules de film négatif reconverties en « microcaches ». Ces dernières sont les types de caches privilégiées pour le géocaching urbain, qui nécessite un camouflage plus habile et à l'épreuve des curieux que les caches en milieu rural.